Les trous de Bâle

Couché 22h, la fatigue se fait sentir, les paupières sont lourdes quand soudain… Michael ronfle !! Apres lui avoir mis une série de coup de boules, je me rends compte que c’est l’orage !!
Deux heures de tonnerres et d’eau n’auront pas eu raison de notre tente.
Surprise au réveil quand Sylvain découvre des limaces a l’abri dans sa sacoche !

Ne changeant pas la formule : départ à midi ! Après une heure de route nous fîmes une halte sur une péniche pour se remplir la panse.
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Le ventre plein, c’est direction Bâle que nous continuons notre périple.

Michael revient bredouille de deux magasins de vélos: la remplaçante de la béquille n’a pas montré le bout de son nez.

Notre graal en vue: le panneau euro vélo 5!
Grosse blague ! Nous voilà dans la zone industriel de Bâle; entre voiture, tram, travaux et avion.
C’est en demandant son chemin au poste de police que sylvain regretta de n’avoir jamais fait d’allemand.

En croisant les fesses et en serrant les doigts (ou l’inverse), c’est à la gare de Bâle que nous retrouvons notre route. (D’après les plans de la gare, aucune trace de l’eurovelo 5 dans la ville)

La soirée approchante, c’est dans un bouiboui 3 étoiles que nous déposons notre monture !
Lessives, Ricard et eau chaude sont au programme !

2 réflexions au sujet de « Les trous de Bâle »

    1. Forcément… Avec le temps passé sur leur vélo, ils ont le temps de faire fonctionner les méninges.
      On a beau regarder le paysage, on est seul avec sa tête .. et ses jambes ;-)
      Courage les gars, ça me rappelle une escapade de 15 jours avec un vélo lourd, en Jura et Suisse dans les années 70… dur dur. Heureusement, y’avait un gros dans l’équipe, ça me permettait d’être avant-dernier ;-)

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